Saint Ouen cinéma Espace 1789, 14 MARS

Ciné/débat

Espace 1789, 2-4 rue Alexandre Bachelet 93400 Saint-Ouen-sur-Seine

Intervenante : Stéphanie Trouillard, journaliste pour France 24, auteure du webdocumentaire
« Si je reviens un jour », à partir des lettres retrouvées de Louise Pikovsky, lycéenne française, déportée et assassinée à Auschwitz, aujourd’hui adapté en BD.

« Une jeune fille qui va bien »

synopsis

Un film émouvant et fin

Irène, jeune fille juive, vit l’élan de ses 19 ans à Paris, l’été 1942. Sa famille la regarde découvrir le monde, ses amitiés, son nouvel amour, sa passion du théâtre… Irène veut devenir actrice et ses journées s’enchaînent dans l’insouciance de sa jeunesse.

« Cette chronique d’une apprentie comédienne juive sous l’Occupation séduit par son ton juste et sa maîtrise du hors-champ. Le premier long métrage en tant que réalisatrice de Sandrine Kiberlain est une réussite. » avoir-alire.com

C’est l’avis des quelque 40 spectateurs qui ont assisté à la projection de « Une jeune fille qui va bien », de Sandrine Kiberlain, lundi 14 mars à l’Espace 1789 à Saint Ouen. Ou comment en plein été 1942 dans Paris occupé par les nazis, Irène, jeune fille française juive et pétillante de 19 ans passionnée de théâtre ne rêve que de son avenir de comédienne. Dans le débat qui a suivi la projection, en présence de Stéphanie Trouillard, journaliste à France 24 et qui mène un travail de fond sur cette sombre période de l’histoire de France, le public a avoué avoir (re)senti la gravité de la situation au fil des images. La lente spirale se met en place d’abord par petites touches anodines, puis pressantes jusqu’au plan final qui tombe comme un couperet.

« Si je reviens un jour » – Les Lettres retrouvées de Louise Pikovsky de Thibaut Lamber, dessinateur, et Stéphanie Trouillard, auteur. Bande dessinée cartonnée éditions Des Ronds Dans l’O. Ou comment, plusieurs mois durant, Louise Pikovsky, jeune lycéenne juive, a correspondu avec sa professeure de lettres du lycée Jean De La Fontaine à Paris. Son dernier courrier date du 22 janvier 1944, jour où elle est arrêtée avec sa famille.

Stéphanie Trouillard, journaliste à France 24

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